Fête des Lumières 2024 : le top 5 des oeuvres à ne pas rater

Fête des Lumières 2024 : le top 5 des oeuvres à ne pas rater

La Fête des Lumières fête ses 25 ans cette année, du 5 au 8 décembre. Les rues de Lyon vont se garnir de monde, s’illuminer et sentir le vin chaud. Voici les cinq oeuvres à intégrer à votre déambulation et à ne pas manquer durant cette édition-anniversaire.

Les Anooki de retour (Parc de la Tête d’Or)

Les petits inuits, nés à Lyon grâce à l’imaginaire des designers Moetu Batlle et David Passegand, sont instantanément devenus les mascottes de la Fête des Lumières. Et ce, dès leur première apparition en 2012 sur la façade de la gare Saint-Paul. Vingt-deux ans plus tard, des Anookis taille XXL accueilleront les visiteurs au parc de la Tête d’Or. Une œuvre-anniversaire qui ravira petits et grands.


Mother (Primatiale Saint-Jean)

Julian Hölscher a été retenu cette année pour le toujours spectaculaire mapping vidéo de la cathédrale du Vieux Lyon. L’architecture ciselée de la façade servira cette fois de réceptacle pour évoquer la nature, la montagne et ses rochers, le vent et l’eau. "Notre métier est l’art de raconter des histoires constituées de temps, d’espace, d’objets, d’images et de sons", déclare l’artiste. On a hâte.


Boum de lumières (Parc Blandan)

Premier lieu excentré intégré à la Fête des Lumières par la mairie écologiste, le parc Blandan a vocation de ravir les familles et les plus jeunes. L’agence Scenitz propose une boum de 17h30 à 21h30, des ateliers maquillage et fabrication de masques phosphorescents, un karaoké et un bal des insectes sur le thème de la sauvegarde de nos petits amis. Attention, aucun intérêt si vous n’avez pas d’enfant.


Not for sale (Temple du Change)

Helen Eastwood et Laurent Brun ont détourné les enseignes lumineuses de leur mission publicitaire pour véhiculer des messages qui nous interpellent sur la société de consommation. Le Temple du Change dans le Vieux-Lyon, qui fut pendant des siècles la loge des changeurs qui échangeaint les devises de différents pays, se prête logiquement à ce jeu anti-pub.


Les projecteurs même (Gros Caillou)

Gérard Torres est le premier à imaginer une œuvre à la Croix-Rousse. Un clin d’œil au tout premier évènement lancé par l’adjoint au maire Henry Chabert en 1989, sur les pentes de la colline. L’illumination de l’Esplanade du Gros Caillou est une accumulation de projecteurs, certains fonctionnant, d’autres non. Elle a vocation à nous faire interroger sur l’essence de la lumière.

X